RÉVÉLATIONS CHOC : La mairie de Strasbourg abandonne les forains, les secrets d’une trahison qui bouleverse l’Eurométropole

Une promesse brisée qui pourrait mener au tribunal ! Les Strasbourgeois vont-ils être privés de leur fête emblématique pendant encore TROIS ANS ?

La nouvelle est tombée comme un couperet pour les habitants de l’Eurométropole : la foire Saint-Jean, institution culturelle strasbourgeoise, ne reviendra qu’en 2027. Ce que les autorités municipales présentent comme une simple décision administrative cache en réalité un véritable drame humain et économique pour des dizaines de familles foraines.

Une parole trahie au sommet de la ville

En décembre dernier, les Strasbourgeois apprenaient avec stupeur que la mythique foire Saint-Jean était repoussée à 2027. Ce que peu savent, c’est que des accords avaient déjà été signés devant le préfet pour une reprise dès 2025 dans le secteur Zénith-Plaine des Sports.

“On nous demande de nous asseoir sur deux ans de travail. Avec l’année d’avant, ça fera trois ans sans revenus. C’est insupportable pour nos familles,” confie, la voix brisée, Jérémy Delannoy, forain présent lors des négociations avec la municipalité.

Des preuves accablantes contre la mairie

L’affaire prend une tournure juridique inquiétante pour la ville. Notre enquête révèle que toutes les négociations ont été méticuleusement enregistrées par voie d’huissier. Un détail que la mairie semble avoir oublié.

Maître Olivier Le Mailloux, avocat au barreau de Marseille représentant les forains, nous confie en exclusivité : “La municipalité ne respecte pas ses engagements écrits. Nous avons toutes les preuves pour une action en justice, mais les procédures prendraient trop de temps. Mes clients n’ont pas ce luxe.”

Des familles au bord de la ruine

Ce que les élus ignorent peut-être, c’est l’ampleur du désastre économique provoqué par leur volte-face. Pour la plupart des forains, la foire Saint-Jean représente “entre 25% et 50% de leurs revenus annuels.”

Plus alarmant encore : “Beaucoup d’entre nous ont contracté des prêts ou renégocié leurs dettes sur la base des promesses de la mairie,” révèle un forain sous couvert d’anonymat. “Nos banquiers ne nous feront plus confiance.”

La foire aura lieu, avec ou sans l’accord de la ville

À trois mois de la date traditionnelle de l’événement, aucune nouvelle rencontre n’est programmée entre les parties. Si les forains n’envisagent pas pour l’instant d’actions d’éclat dans les rues de Strasbourg, la tension monte.

“Il y aura une foire,” affirme catégoriquement Jérémy Delannoy. “La profession ne peut pas se permettre une deuxième année blanche.” Une déclaration qui sonne comme un avertissement pour les autorités strasbourgeoises.

Que se cache-t-il vraiment derrière cette décision de la mairie ? Les Strasbourgeois méritent de connaître la vérité sur ce qui pourrait priver l’Eurométropole de l’une de ses traditions les plus populaires pendant encore trois longues années.